L’objectif de ce TRI 2 est de développer un pool de technologies et de solutions d’énergie à émission zéro basées sur les sources d’énergie renouvelables comme colonne vertébrale du futur système énergétique, capable de fournir une électricité neutre en carbone, accessible à tous et de contribuer à la résilience du système.
Le TRI 2 mettra en œuvre le défi 2 du SRIA « Amélioration des technologies de production d’électricité sans émission » en soutenant les percées technologiques et l’amélioration substantielle des technologies des énergies renouvelables, des matériaux aux composants et aux systèmes, en abordant les questions de durabilité, de circularité et d’acceptation sociale.
Présentation du module : Ce module a pour objectif de soutenir la recherche de pointe (TRL 4 ou plus) visant à augmenter l’efficacité de conversion/transfert et la fiabilité des technologies d’énergie renouvelable et de durabilité.
Objectifs du module (viser au moins un objectif indiqué dans le texte de l’appel à projets) :
– Augmenter la conversion de l’énergie en puissance et/ou la performance et/ou la durée de vie des technologies par l’utilisation de nouveaux matériaux,
– Développer des composants innovants assurant un meilleur rendement
– Développer des approches et des caractéristiques de modélisation capables d’augmenter l’efficacité énergétique des systèmes.
Périmètre thématique :
Guichet : en France, ce module est pré-instruit par l’ANR.
Jalons :
– Date limite de dépôt final : 20 mars 2023
L’ANR financera les partenaires français impliqués dans les projets sélectionnés, lui demandant une aide et réalisant la majeure partie de leur activité à des niveaux de TRL compris entre 3 et 5.
Recommandations concernant la demande d’aide :
Les taux de financement sont décrits dans le tableau accessible via ce lien, à titre indicatif.
Date limite : 20 . 03 . 2023 à 12:00
Bénéficiaires
Les organismes publics de recherche tels que les Universités, les EPST, les EPIC, ainsi que les entités privées telles que les entreprises, les collectivités publiques, les ONG et les fondations peuvent être éligibles, à condition qu’au moins un organisme public de recherche français soit impliqué dans le consortium.